FARID BENYAA .... PAYSAGES ET MONUMENTS D'ALGERIE
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09082009
FARID BENYAA .... PAYSAGES ET MONUMENTS D'ALGERIE
GHARDAIA - Le marché aux tapis
La vie d'un marché est toujours une agréable attraction pour
l'observateur étranger intéressé par l'économie locale
et la psychologie des habitants.
La place du marché de Ghardaia est entouré d'arcades
et de boutiques, c'est un lieu de rencontre fort animé
jusque tard dans la soirée.
Au marché on y vend toute sorte d'objets en particulier
de superbe tapis dont la réputation dépasse largement
les frontières de la vallée du M'Zab.
En s'élevant vers la vieille ville, en direction du minaret,
par des ruelles en escaliers, on croise à mi-hauteur une
rue circulaire, qui marquat jadis la limite de la cité.
Plus loin, on passe devant un trou aménagé dans un
rocher protégé par une grille. C'est la fameuse grotte
de "Mademoiselle DAIA" .
Cette demoiselle se serait réfugiée dans cette grotte
pendant 3 jours, avant que le feu du foyer qu'elle
allumait chaque soir pour faire cuire ses maigres
aliments, n'attira l'attention du saint homme qui devait
l'épouser et fonder la ville dont le nom même rappelle
cette belle histoire : GHAR-DAIA, la grotte de DAIA
EL-OUED - La place du marché
El-Oued, "la ville aux mille coupoles", a cette particularité
architecturale qui marque le cadre de vie du Soufi.
Presque toutes les habitations sont couvertes de
coupoles où de voûtes. Ces formes offrant une grande
surface de réfraction, assurent durant les étés torrides
du Souf une fraîcheur et un confort appréciés à
l'intérieur des maisons.
En outre cette ville aux milles coupoles participe à
l'originalité du paysage Soufi, caractérisé par la douceur
des lignes courbes : les cratères, le vallonnement des
dunes, les dômes, les arcades et par la présence
permanente jusque dans les rues des villes, du sable
un sable fin doré, souple et silencieux sous les pas.
Tous les matins les habitants des Oasis dispersés dans
les sables du Souf s'empressent de rejoindre le marché
d'El-Oued connu pour ses tissages, ras de burnous,
Hayek, couvertures et ses tapis à points noués
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Date d'inscription : 04/10/2008
FARID BENYAA .... PAYSAGES ET MONUMENTS D'ALGERIE :: Commentaires
Re: FARID BENYAA .... PAYSAGES ET MONUMENTS D'ALGERIE
DJAMAA KETCHAOUA - Algérie
Plusieurs actes authentiques, dont le plus ancien est de
1612, établissent l'existence de la mosquée Ketchaoua.
En 1974, le pacha Hassen reconstruit cet édifice en
l'agrandissant considérablement.
A merveille ! elle possède la beauté aux yeux de ceux
qui la contemplent. Superbe équilibre d'une architecture
édifiée avec splendeur sans parallèle et sans égale.
La conquête française modifia ces données. La religion
catholique demeurant le support presque idéologique
de la colonisation, la mosquée Ketchaoua fut affectée
au culte catholique, elle a été entièrement démolie,
petit à petit à la suite de modifications successives
pour la construction de la cathédrale. La mosquée
Ketchaoua actuelle n'est donc qu'un aspect très
lointain de l'ancien édifice Turc.
Les Aurès - EL KANTARA - Algérie
A El Kantara, pas deux oasis ne se ressemblent.
Le relief, la couleur et la structure du sol, l'abondance
où la rareté de l'eau font de chacune une entité personnelle.
" El Kantara, le pont garde le défilé et pour aussi dire
l'unique porte par où pénétrer dans le Sahara.
Ce passage est une déchirure étroite, qu'on disait faite
de la main d'homme, dans une énorme muraille de
rochers de trois où quatre cent pieds d'élévation.
Le pont de construction romaine est jetée en travers
de la coupure. Ce pont franchi et après avoir fait cent
pas dans le défilé, vous tombez par une pente rapide,
sur ce charmant village arrosé par un profond cours
d'eau et perdu dans une forêt de vingt cinq mille palmiers.
Vous êtes dans le Sahara".
Eugène Fromentin
BISKRA - La mosquée de Sidi Malek
Biskra est la porte du grand sud.
Elle forme un contraste saisissant avec la bigarrure
des hauts plateaux et du massif Aurésien tout proche.
Biskra ville a construit ses quartiers en damiers, au
bord de l'oued le plus large, aux abords même de la
palmeraie la plus dense et la plus étendue de la
contrée. Déjà les romains avaient repéré le site.
Il existe plus de 7O variétés de palmiers dattiers et
par conséquent de dattes. La datte la plus connue et
commercialisée est la fameuse Deglet Nour (Doigt de lumière),
Elle est grosse, claire et onctueuse. Au goût un vrai
délice !
Au fond, à travers les palmiers nous remarquons la
silhouette de la mosquée Sidi Malek.
Plusieurs actes authentiques, dont le plus ancien est de
1612, établissent l'existence de la mosquée Ketchaoua.
En 1974, le pacha Hassen reconstruit cet édifice en
l'agrandissant considérablement.
A merveille ! elle possède la beauté aux yeux de ceux
qui la contemplent. Superbe équilibre d'une architecture
édifiée avec splendeur sans parallèle et sans égale.
La conquête française modifia ces données. La religion
catholique demeurant le support presque idéologique
de la colonisation, la mosquée Ketchaoua fut affectée
au culte catholique, elle a été entièrement démolie,
petit à petit à la suite de modifications successives
pour la construction de la cathédrale. La mosquée
Ketchaoua actuelle n'est donc qu'un aspect très
lointain de l'ancien édifice Turc.
Les Aurès - EL KANTARA - Algérie
A El Kantara, pas deux oasis ne se ressemblent.
Le relief, la couleur et la structure du sol, l'abondance
où la rareté de l'eau font de chacune une entité personnelle.
" El Kantara, le pont garde le défilé et pour aussi dire
l'unique porte par où pénétrer dans le Sahara.
Ce passage est une déchirure étroite, qu'on disait faite
de la main d'homme, dans une énorme muraille de
rochers de trois où quatre cent pieds d'élévation.
Le pont de construction romaine est jetée en travers
de la coupure. Ce pont franchi et après avoir fait cent
pas dans le défilé, vous tombez par une pente rapide,
sur ce charmant village arrosé par un profond cours
d'eau et perdu dans une forêt de vingt cinq mille palmiers.
Vous êtes dans le Sahara".
Eugène Fromentin
BISKRA - La mosquée de Sidi Malek
Biskra est la porte du grand sud.
Elle forme un contraste saisissant avec la bigarrure
des hauts plateaux et du massif Aurésien tout proche.
Biskra ville a construit ses quartiers en damiers, au
bord de l'oued le plus large, aux abords même de la
palmeraie la plus dense et la plus étendue de la
contrée. Déjà les romains avaient repéré le site.
Il existe plus de 7O variétés de palmiers dattiers et
par conséquent de dattes. La datte la plus connue et
commercialisée est la fameuse Deglet Nour (Doigt de lumière),
Elle est grosse, claire et onctueuse. Au goût un vrai
délice !
Au fond, à travers les palmiers nous remarquons la
silhouette de la mosquée Sidi Malek.
CONSTANTINE - Les gorges du Rhummel
Constantine est une ville dont la situation est privilégiée.
Son destin est prestigieux, on la surnomme
" La Perle du Rhummel "
Elle est bâtie sur un plateau rocheux en forme de
trapèze, limitée par des ravins profonds où le plateau
de la Mansourah isole la vieille ville de Constantine.
Seuls plusieurs ouvrages d'art et d'étonnantes routes
à plusieurs niveaux, permettent d'y accéder.
Depuis l'époque turque, Constantine joua un rôle important,
puisqu'elle devient la capitale de l'Est Algérien. Ce rôle,
elle continuera à l'assumer durant l'occupation française
et après l'indépendance de notre pays. Ces dernières
années, Constantine a vu s'édifier sur son sol, de nombreux
édifices industriels et culturels, dont les plus importants
sont la Mosquée Abd-El-Kader et l'université.
TLEMCEN - La tour de MANSOURAH
La blanche Tlemcen, c'est " La perle de l'Afrique du nord ".
La cité aux trente sept minarets et aux cent monuments
rivalisant de finesse et d'élégance. Tlemcen demeure
encore aujourd'hui, l'un des hauts lieux de l'architecture
religieuse.
Elevée au XIVème siècle aux portes de la cité, le minaret
de MANSOURAH haut de 40m, reprend le décor qui
demeure caractéristique des grandes tours d'Afrique du
Nord. Mais lui donne un éclat nouveau en l'incrustant
de céramique turquoise qui brille sur l'ocre doré de la
pierre ; son porche est justement réputé avec ses trois
arcatures concentriques finement ciselées. La façade
du minaret, exposée au nord, est particulièrement mis
en valeur en fin d'après-midi.
BEJAIA - La vallée de la Soummam
Béjaia, "Bougie" en français, exporta pendant des siècles
la cire d'abeille, produite dans les monts de Kabylie, grâce
à laquelle toute l'Europe s'éclairait aux chandelles où
Bougies...
Béjaia est une ville très touristique.
Les possibilités de promenades et d'excursions sont
exceptionnelles du côté de Cap Carbon et de
Yemma Gouraya.
Des sites sue sur mer d'une beauté sauvage s'étirent de
Cap Sigli et au-delà jusqu'à Azeffoun. A 17km, Tichy le
complexe touristique, une sorte de luxueuse annexe de
vacances à Béjaia. A Aokas et à Souk-El-Tenine, d'autres
installations touristiques existent.
A près de 45 km vers le sud le puissant Oued Soummam
traverse l'agglomération de Sidi Aich.
Sur les versants de cette vallée et dans un paysage altier,
se trouvent juchées et serrées en haut des pentes raides
les maisons d'El Flay. De par leur simplicitéé et leur
dépouillement, ces constructions montrent une architecture
construite à l'échelle humaine et parfaitement intégrée au
site environnant.
Constantine est une ville dont la situation est privilégiée.
Son destin est prestigieux, on la surnomme
" La Perle du Rhummel "
Elle est bâtie sur un plateau rocheux en forme de
trapèze, limitée par des ravins profonds où le plateau
de la Mansourah isole la vieille ville de Constantine.
Seuls plusieurs ouvrages d'art et d'étonnantes routes
à plusieurs niveaux, permettent d'y accéder.
Depuis l'époque turque, Constantine joua un rôle important,
puisqu'elle devient la capitale de l'Est Algérien. Ce rôle,
elle continuera à l'assumer durant l'occupation française
et après l'indépendance de notre pays. Ces dernières
années, Constantine a vu s'édifier sur son sol, de nombreux
édifices industriels et culturels, dont les plus importants
sont la Mosquée Abd-El-Kader et l'université.
TLEMCEN - La tour de MANSOURAH
La blanche Tlemcen, c'est " La perle de l'Afrique du nord ".
La cité aux trente sept minarets et aux cent monuments
rivalisant de finesse et d'élégance. Tlemcen demeure
encore aujourd'hui, l'un des hauts lieux de l'architecture
religieuse.
Elevée au XIVème siècle aux portes de la cité, le minaret
de MANSOURAH haut de 40m, reprend le décor qui
demeure caractéristique des grandes tours d'Afrique du
Nord. Mais lui donne un éclat nouveau en l'incrustant
de céramique turquoise qui brille sur l'ocre doré de la
pierre ; son porche est justement réputé avec ses trois
arcatures concentriques finement ciselées. La façade
du minaret, exposée au nord, est particulièrement mis
en valeur en fin d'après-midi.
BEJAIA - La vallée de la Soummam
Béjaia, "Bougie" en français, exporta pendant des siècles
la cire d'abeille, produite dans les monts de Kabylie, grâce
à laquelle toute l'Europe s'éclairait aux chandelles où
Bougies...
Béjaia est une ville très touristique.
Les possibilités de promenades et d'excursions sont
exceptionnelles du côté de Cap Carbon et de
Yemma Gouraya.
Des sites sue sur mer d'une beauté sauvage s'étirent de
Cap Sigli et au-delà jusqu'à Azeffoun. A 17km, Tichy le
complexe touristique, une sorte de luxueuse annexe de
vacances à Béjaia. A Aokas et à Souk-El-Tenine, d'autres
installations touristiques existent.
A près de 45 km vers le sud le puissant Oued Soummam
traverse l'agglomération de Sidi Aich.
Sur les versants de cette vallée et dans un paysage altier,
se trouvent juchées et serrées en haut des pentes raides
les maisons d'El Flay. De par leur simplicitéé et leur
dépouillement, ces constructions montrent une architecture
construite à l'échelle humaine et parfaitement intégrée au
site environnant.
ORAN - Santa Cruz - Algérie
Parmi les villes qui ont joué un rôle dans l'histoire et
la civilisation de notre pays. Oran occupe une place
de premier plan.
En 1509 les espagnols font la conquête de la vile
d'Oran, il sy demeurent durant près de deux siècles.
Du point le plus élevé du Cap Gata, sur la côte Sud
de l'Espagne, on peut par temps clair, apercevoir
confusément les contreforts rocheux de Ait Dour,
aux pieds desquels se blottit Oran.
La distance entre l'Espagne méridionale et la zone
oranaise est courte et la proximité géographique explique
le caractère étroit des liens que l'histoire a toujours
tissé entre ces deux mondes.
De toutes les cités algériennes. Oran est celle dont le
destin a été le plus influencé par l'apport Espagnol,
ici la réalisation de l'Eglise Santa Cruz.
SETIF - Djémila - Algérie
Djémila est à 45 km au Nord-Est de Sétif.
Exceptionnel, le site antique de Djémila l'est autant par
la beauté formelle des ruines que par leur puissance
évocatrice de la vie des siècles lointains.
Au temps de la splendeur romaine, l'opulente Cuicul,
l'actuelle Djemila, rivalisait avec la fastueuse
Sitifis (Sétif), capitale de toute une province.
Depuis des millénaires, rien n'a vraiment changé,
l'enfant sur son âne emprunte le chemin de l'Arc de
Triomphe de Caracalla.
Par ailleurs, il est à signaler que le musée de Djemila
est le seul d'Algérie ayant ses murs littéralement
couverts de mosaiques du sol à la verrière, près de
dix mètres de haut.
TIZI OUZOU - Beni Yenni - Algérie
Tizi Ouzou la ville au nom de fleur sauvage, le mot en
kabyle signifie "col de genets".
Les genets et avec eux toutes les fleurs de montagnes,
couvrent les pentes abruptes des vallées voisines.
Tizi Ouzou à vocation touristique, étape entre Alger et
Béjaia, et centre d'excursion à travers une des contrées
les plus originales et les plus pittoresques d'Algérie.
Tizi Ouzou est à mi-chemin entre la mer et les hauts
sommets du Djurdjura.
En Kabylie, les produits d'artisanat local sont une
tentation permanente pour le touriste.
Au sein de cette nature superbe, le montagnard est
l'instinct poète et artiste, il sait créer cet art spontané
et populaire qui fait son originalité : Poterie, Bijou,
Céramique, Broderie etc...
Les Beni Yenni sont traditionnellement des orfèvres.
Leurs bijoux en argent incrustés de corail ou d'émaux
ont toujours été appréciés bien au delà des limites
de la Kabylie.
ANNABA
Aujourd'hui Annaba est le symbole de la sidérurgie en
Algérie.
La cité St Augustin, la ville de Abou Marwan El Buni, est
la frontière méditerranéenne dans les relations avec
l'Europe ainsi que la frontière terrestre qui s'ouvre vers
l'orient musulman.
A Annaba, les plages naissent aux portes mêmes de
la ville.
Comment ne pas goûter la douceur de vivre, dans cette
ville, où la brise à l'odeur salé de la mer ?
Parmi les villes qui ont joué un rôle dans l'histoire et
la civilisation de notre pays. Oran occupe une place
de premier plan.
En 1509 les espagnols font la conquête de la vile
d'Oran, il sy demeurent durant près de deux siècles.
Du point le plus élevé du Cap Gata, sur la côte Sud
de l'Espagne, on peut par temps clair, apercevoir
confusément les contreforts rocheux de Ait Dour,
aux pieds desquels se blottit Oran.
La distance entre l'Espagne méridionale et la zone
oranaise est courte et la proximité géographique explique
le caractère étroit des liens que l'histoire a toujours
tissé entre ces deux mondes.
De toutes les cités algériennes. Oran est celle dont le
destin a été le plus influencé par l'apport Espagnol,
ici la réalisation de l'Eglise Santa Cruz.
SETIF - Djémila - Algérie
Djémila est à 45 km au Nord-Est de Sétif.
Exceptionnel, le site antique de Djémila l'est autant par
la beauté formelle des ruines que par leur puissance
évocatrice de la vie des siècles lointains.
Au temps de la splendeur romaine, l'opulente Cuicul,
l'actuelle Djemila, rivalisait avec la fastueuse
Sitifis (Sétif), capitale de toute une province.
Depuis des millénaires, rien n'a vraiment changé,
l'enfant sur son âne emprunte le chemin de l'Arc de
Triomphe de Caracalla.
Par ailleurs, il est à signaler que le musée de Djemila
est le seul d'Algérie ayant ses murs littéralement
couverts de mosaiques du sol à la verrière, près de
dix mètres de haut.
TIZI OUZOU - Beni Yenni - Algérie
Tizi Ouzou la ville au nom de fleur sauvage, le mot en
kabyle signifie "col de genets".
Les genets et avec eux toutes les fleurs de montagnes,
couvrent les pentes abruptes des vallées voisines.
Tizi Ouzou à vocation touristique, étape entre Alger et
Béjaia, et centre d'excursion à travers une des contrées
les plus originales et les plus pittoresques d'Algérie.
Tizi Ouzou est à mi-chemin entre la mer et les hauts
sommets du Djurdjura.
En Kabylie, les produits d'artisanat local sont une
tentation permanente pour le touriste.
Au sein de cette nature superbe, le montagnard est
l'instinct poète et artiste, il sait créer cet art spontané
et populaire qui fait son originalité : Poterie, Bijou,
Céramique, Broderie etc...
Les Beni Yenni sont traditionnellement des orfèvres.
Leurs bijoux en argent incrustés de corail ou d'émaux
ont toujours été appréciés bien au delà des limites
de la Kabylie.
ANNABA
Aujourd'hui Annaba est le symbole de la sidérurgie en
Algérie.
La cité St Augustin, la ville de Abou Marwan El Buni, est
la frontière méditerranéenne dans les relations avec
l'Europe ainsi que la frontière terrestre qui s'ouvre vers
l'orient musulman.
A Annaba, les plages naissent aux portes mêmes de
la ville.
Comment ne pas goûter la douceur de vivre, dans cette
ville, où la brise à l'odeur salé de la mer ?
MOSQUEE DU PACHA - Oran - Algérie
A Oran, tout le XVIIIème siècle est dominé par la lutte
que se livrent les Turcs et les Espagnols. Ceux-ci ont
perdu la première manche. Ils prennent leur revanche
et s'installent à Oran lorsque le comte de Montemar
à la tête d'une forte expédition débarque en 1732 sur
la plage voisine d'Ain-El-Turk. Mais les turcs gagnent
quand deux ans après le terrible tremblement de terre
qui a détruit presque toute l'agglomération en 1790,
le général Mohamed d'El Kébir pénètre en vainqueur
dans une ville en ruine.
El Kébir célèbre sa victoire en faisant construire la
mosquée du Pacha sur ordre du Pacha d'Alger Baba Hassan.
La mosquée du Pacha se distingue par son porche, sa
grande coupole et son imposant minaret.
TIPASA - Les ruines romaines - Algérie
" Ce nom simple et doux, semble dormir sans fin au bord
d'une route vivante, des maisons basses, au bord d'un
port petit où les pêcheurs bavardent...
Tipasa magnifique, ignorée et troublante, à peine plus
vivante que l'écume des vagues" Albert Camus
Dans la douce harmonie des ruines roses, du jardin et
du ciel bleu, plus bleu que la mer, l'ombre du massif
montagneux du Chenoua, vient pesamment se coucher
dans les flots.
A l'autre bout du site, le promontoire où s'élève aujourd'hui
le phare, on trouve les vestiges les plus anciens, et
au sommet de la colline le vieux forum qu'entourait
le temple dédié à Jupiter.
EL-GOLEA - La citadelle - Algérie
Le vieux Ksar qui domine l'Oasis à l'Est est à l'origine du
nom de la ville moderne, qui signie " citadelle".
Le charme d'une Oasis comme celle d'El Goléa, tient à
la sobriété des éléments qui composent le paysage,
deux ou trois couleurs dominantes, quelques volumes
simples, des matériaux bruts et ... le silence.
Ces habitations et toutes les autres que l'on aperçoit
derrière les arbres et les murs ne sont pas ocres comme
à Tamanrasset, rouges comme à Timimoun, bleues
comme dans le M'Zab, leurs crépis sont d'un blanc
éclatant sur un fond de verdure.
Les larges artères sont peu passantes, elles s'animent
toutefois à plusieurs reprises dans la journée, avec
les enfants et les adolescents aux sorties des écoles.
A Oran, tout le XVIIIème siècle est dominé par la lutte
que se livrent les Turcs et les Espagnols. Ceux-ci ont
perdu la première manche. Ils prennent leur revanche
et s'installent à Oran lorsque le comte de Montemar
à la tête d'une forte expédition débarque en 1732 sur
la plage voisine d'Ain-El-Turk. Mais les turcs gagnent
quand deux ans après le terrible tremblement de terre
qui a détruit presque toute l'agglomération en 1790,
le général Mohamed d'El Kébir pénètre en vainqueur
dans une ville en ruine.
El Kébir célèbre sa victoire en faisant construire la
mosquée du Pacha sur ordre du Pacha d'Alger Baba Hassan.
La mosquée du Pacha se distingue par son porche, sa
grande coupole et son imposant minaret.
TIPASA - Les ruines romaines - Algérie
" Ce nom simple et doux, semble dormir sans fin au bord
d'une route vivante, des maisons basses, au bord d'un
port petit où les pêcheurs bavardent...
Tipasa magnifique, ignorée et troublante, à peine plus
vivante que l'écume des vagues" Albert Camus
Dans la douce harmonie des ruines roses, du jardin et
du ciel bleu, plus bleu que la mer, l'ombre du massif
montagneux du Chenoua, vient pesamment se coucher
dans les flots.
A l'autre bout du site, le promontoire où s'élève aujourd'hui
le phare, on trouve les vestiges les plus anciens, et
au sommet de la colline le vieux forum qu'entourait
le temple dédié à Jupiter.
EL-GOLEA - La citadelle - Algérie
Le vieux Ksar qui domine l'Oasis à l'Est est à l'origine du
nom de la ville moderne, qui signie " citadelle".
Le charme d'une Oasis comme celle d'El Goléa, tient à
la sobriété des éléments qui composent le paysage,
deux ou trois couleurs dominantes, quelques volumes
simples, des matériaux bruts et ... le silence.
Ces habitations et toutes les autres que l'on aperçoit
derrière les arbres et les murs ne sont pas ocres comme
à Tamanrasset, rouges comme à Timimoun, bleues
comme dans le M'Zab, leurs crépis sont d'un blanc
éclatant sur un fond de verdure.
Les larges artères sont peu passantes, elles s'animent
toutefois à plusieurs reprises dans la journée, avec
les enfants et les adolescents aux sorties des écoles.
LA BAIE D'ALGER
Alger regarde en direction du soleil levant.
Alger fait face à l'est.
C'est le matin qu'il faut la photographier.
Elle est alors Alger la Blanche, ville jetée en vrac à
flanc de colline, qu'une brume de chaleur rend plus
lumineuse sous le soleil, chaos de cubes gris et blanc
que contient comme un rempart une longue série
d'immeubles à arcades surplombant le port.
Naguère les touristes arrivaient par la mer.
Ils jouissaient de ce spectacle maintes fois décrit
de la ville blanche - une des plus belles baies du monde -
On remarque tout de suite ce nid complet et embrouillé
de la casbah accrochée au flan du massif de
bouzaréha.
Au centre, la verte percée du boulevard
Mohamed Khemisti, perron monumental donnant
accès au palais du gouvernement et au delà,
l'hôtel El Aurassi, dont la silhouette s'impose fortement
au *prospect délicat de la capitale.
*prospect (manière de regarder)
Alger regarde en direction du soleil levant.
Alger fait face à l'est.
C'est le matin qu'il faut la photographier.
Elle est alors Alger la Blanche, ville jetée en vrac à
flanc de colline, qu'une brume de chaleur rend plus
lumineuse sous le soleil, chaos de cubes gris et blanc
que contient comme un rempart une longue série
d'immeubles à arcades surplombant le port.
Naguère les touristes arrivaient par la mer.
Ils jouissaient de ce spectacle maintes fois décrit
de la ville blanche - une des plus belles baies du monde -
On remarque tout de suite ce nid complet et embrouillé
de la casbah accrochée au flan du massif de
bouzaréha.
Au centre, la verte percée du boulevard
Mohamed Khemisti, perron monumental donnant
accès au palais du gouvernement et au delà,
l'hôtel El Aurassi, dont la silhouette s'impose fortement
au *prospect délicat de la capitale.
*prospect (manière de regarder)
SIDI FREDJ - Alger - Algérie
Le port de plaisance et le complexe hôtelier de
Sidi-Fredj, passent pour le plus réussi d'Alger, tant pour
la qualité de leurs installations que pour la beauté du
décor directement inspiré de la tradition algéroise.
La plage de l'invasion coloniale plus connue sous le
nom de Sidi-Ferruch est vouée définitivement aux
baignades et aux pâtés de sable.
La presqu'île stratégique est entièrement réservé
aux vacances.
Les édifices qui composent ce formidable port de
plaisance sont d'un modernisme éclatant mais
demeurent néanmoins une illustration parfaite de
l'architecture séculaire de la Casbah : voûtes outrepassées,
fenêtres à Moucharabiehs, portes arrondies, patios,
galeries, colonnes torsadées.
TIMIMOUN - La ville rouge - Algérie
A travers le monde, peu de villes et de sites réservent
un choc à celui qui les découvre. Timimoun est
de celles-ci.
Timimoun la ville rouge est construite avec de l'argile,
les constructions aux volumes francs ont comme
seuls ornements des trous d'ombres, étroites ouvertures
dans les murs épais comme ceux d'une forteresse.
L'eau vive, qui court dans toutes les directions est
canalisée par un savant réseau de "fougaras". L'eau est
répartie à bon escient grâce à un système de peignes
où de rateaux de pierre d'où s'échappent de multiples
rigoles.
L'hôtel "l'Oasis Rouge" plus ancien que le "Gourara"
est l'un des vestiges historiques qui constitue l'une
des beautés monumentales de la ville.
Il nécessite néanmoins des travaux de sauvegarde
- sa restauration est urgente.
BOU-SAADA - La cité du bonheur
Distante seulement de 250 km d'Alger, Bou-Saada est
l'Oasis du bonheur. Le nom quelque peu légendaire de
Bou-Saada ne veut-il pas dire "le père du bonheur" ou
"la cité du bonheur" gage d'un séjour aimable.
Le charme familier qui avait conquis le peintre Etienne Diner,
orientaliste converti à l'islam qui a voulu y être enterré.
L'Oued Bou-Saada coule au pied d'un long escarpement
rocheux, avant de se perdre dans la plaine en direction
du Chott El Hodna.
La ville est construite dans la partie basse de la vallée,
elle compte un quartier moderne et un vieux bourg aux
allures de K'sar, dont les ruelles en pente épousent le
relief rocheux.
Au sommet se dresse le minaret de la mosquée Sidi Brahim,
une des 25 mosquées de Bou-Saada, d'où l'on jouit d'une
vue remarquable sur tout le site.
TOUGGOURT - L'oasis - Algérie
Touggourt est une Oasis.
Elle est un grand centre producteur de dattes. Ces
palmiers drus et puissants enserrent à étouffer une
ville blanche, qui, au soleil couchant prend des
teintes de vieil or.
Les bruits de la vie montent de cet îlot d'humanité : les
crissements de charrettes, les rumeurs de la foule,
les rires d'enfants.
Cependant Touggourt n'est-elle pas une oasis perdue
au grand large du désert ? Elle constitue un des
principaux maillons d'une chaîne de jardins étirés
sur 150 km. Le cours souterrain d'un vieux fleuve,
l'oued Rhir, assure grâce à des puits, une irrigation
suffisante.
Une grande curiosité touristique de Touggourt, réside
dans les tombeaux des rois. Les "marabouts" saints et
sages de l'islam, continuent d'être l'objet de la piété
populaire.
Ici, tombeaux dans la palmeraie de Touggourt.
ADRAR - La palmeraie - Algérie
L'oasis est avant tout la palmeraie.
Le palmier est depuis des siècles la ressource
essentielle du Sahara.
La culture du palmier a engendré l'élaboration des
techniques d'irrigations d'une très grande subtilité. C'est
le miracle de l'homme dans la maîtrise de la nature.
La région d'Adrar vit d'une sage et intelligente agriculture
que favorise une ancestrale technique d'irrigation
"les fougaras".
Il en résulte des jardins étonnamment prospères,
dans lesquels l'orge, les primeurs , les légumes
tiennent les premières places.
Le port de plaisance et le complexe hôtelier de
Sidi-Fredj, passent pour le plus réussi d'Alger, tant pour
la qualité de leurs installations que pour la beauté du
décor directement inspiré de la tradition algéroise.
La plage de l'invasion coloniale plus connue sous le
nom de Sidi-Ferruch est vouée définitivement aux
baignades et aux pâtés de sable.
La presqu'île stratégique est entièrement réservé
aux vacances.
Les édifices qui composent ce formidable port de
plaisance sont d'un modernisme éclatant mais
demeurent néanmoins une illustration parfaite de
l'architecture séculaire de la Casbah : voûtes outrepassées,
fenêtres à Moucharabiehs, portes arrondies, patios,
galeries, colonnes torsadées.
TIMIMOUN - La ville rouge - Algérie
A travers le monde, peu de villes et de sites réservent
un choc à celui qui les découvre. Timimoun est
de celles-ci.
Timimoun la ville rouge est construite avec de l'argile,
les constructions aux volumes francs ont comme
seuls ornements des trous d'ombres, étroites ouvertures
dans les murs épais comme ceux d'une forteresse.
L'eau vive, qui court dans toutes les directions est
canalisée par un savant réseau de "fougaras". L'eau est
répartie à bon escient grâce à un système de peignes
où de rateaux de pierre d'où s'échappent de multiples
rigoles.
L'hôtel "l'Oasis Rouge" plus ancien que le "Gourara"
est l'un des vestiges historiques qui constitue l'une
des beautés monumentales de la ville.
Il nécessite néanmoins des travaux de sauvegarde
- sa restauration est urgente.
BOU-SAADA - La cité du bonheur
Distante seulement de 250 km d'Alger, Bou-Saada est
l'Oasis du bonheur. Le nom quelque peu légendaire de
Bou-Saada ne veut-il pas dire "le père du bonheur" ou
"la cité du bonheur" gage d'un séjour aimable.
Le charme familier qui avait conquis le peintre Etienne Diner,
orientaliste converti à l'islam qui a voulu y être enterré.
L'Oued Bou-Saada coule au pied d'un long escarpement
rocheux, avant de se perdre dans la plaine en direction
du Chott El Hodna.
La ville est construite dans la partie basse de la vallée,
elle compte un quartier moderne et un vieux bourg aux
allures de K'sar, dont les ruelles en pente épousent le
relief rocheux.
Au sommet se dresse le minaret de la mosquée Sidi Brahim,
une des 25 mosquées de Bou-Saada, d'où l'on jouit d'une
vue remarquable sur tout le site.
TOUGGOURT - L'oasis - Algérie
Touggourt est une Oasis.
Elle est un grand centre producteur de dattes. Ces
palmiers drus et puissants enserrent à étouffer une
ville blanche, qui, au soleil couchant prend des
teintes de vieil or.
Les bruits de la vie montent de cet îlot d'humanité : les
crissements de charrettes, les rumeurs de la foule,
les rires d'enfants.
Cependant Touggourt n'est-elle pas une oasis perdue
au grand large du désert ? Elle constitue un des
principaux maillons d'une chaîne de jardins étirés
sur 150 km. Le cours souterrain d'un vieux fleuve,
l'oued Rhir, assure grâce à des puits, une irrigation
suffisante.
Une grande curiosité touristique de Touggourt, réside
dans les tombeaux des rois. Les "marabouts" saints et
sages de l'islam, continuent d'être l'objet de la piété
populaire.
Ici, tombeaux dans la palmeraie de Touggourt.
ADRAR - La palmeraie - Algérie
L'oasis est avant tout la palmeraie.
Le palmier est depuis des siècles la ressource
essentielle du Sahara.
La culture du palmier a engendré l'élaboration des
techniques d'irrigations d'une très grande subtilité. C'est
le miracle de l'homme dans la maîtrise de la nature.
La région d'Adrar vit d'une sage et intelligente agriculture
que favorise une ancestrale technique d'irrigation
"les fougaras".
Il en résulte des jardins étonnamment prospères,
dans lesquels l'orge, les primeurs , les légumes
tiennent les premières places.
LA GRANDE POSTE D'ALGER
Alger l'africaine porte d'un continent,
Alger la méditerranéenne, escale sur la plus vieille mer
du monde,
Alger cité historique, en plein expansion est de nos jours,
la grande capitale.
Au centre ville, la grande poste dresse sa façade
néo-mauresque.
De tout temps, cet édifice prestigieux fut le
*barycentre de la capitale.
Il est encore aujourd'hui un repère, un espace des
rendez-vous. A ses pieds se croisent les artères les
plus animées de la ville.
Avec leurs grands magasins, leurs belles boutiques de
confection et de décoration, leurs librairies, leurs
super-marchés, et leurs restaurants, les rues
Didouche Mourad et Larbi Ben Mehidi sont les plus
importantes du centre ville.
barycentre : point d'intersection des 3 médianes d'un
triangle
DJAMAA EL-BARRANI - Alger
C'est une mosquée située en haut de la Casbah, comme
son nom l'indique, elle est destinée à recevoir d'abord
les personnes étrangères à la cité.
L'auvent en tuile verte prononce l'entrée de la mosquée.
Le minaret aux proportions équilibrées est rehaussé
d'une frise en céramique typiquement locale. Ce petit
édifice semble dominer la médina.
En contre bas, nous distinguons l'Amirauté.
Au fond notre oeil plonge dans le bleu de la méditerranée
DJAMAA EL-DJEDID - Alger
Djamaa El-Djedid ou Mosquée de la pêcherie à Alger est
le type le plus frappant de l'architecture turque, c'est
aussi sans conteste l'exemple le plus intéressant par
sa conception architecturale et son décor.
Elle fut construite en 1660, une grande coupole dont
le sommet s'élève intérieurement à plus de 24 m, est
bâtie en briques par assises annulaires horizontales.
L'endroit le plus sacré d'une mosquée est le mihrab
tapissé de carreaux de faience dans sa partie inférieure
et orné de moulures en plâtre à côté du minbar du
haut des marches duquel l'imam délivre un sermon
(khutba) au cours de la prière du vendredi après-midi.
PORTE DU TOMBEAU DE SIDI BOUMEDIENE - Tlemcen
Une porte à auvent donne sur un escalier qui descend
au tombeau mystique Andalou Sidi Boumédiène faisant
du village El Eubbad un des lieux de pèlerinage les
plus fameux du Maghreb. Une courette précède la
chambre funéraire de Sidi Boumediène.
Un puit est là depuis six ou sept cent ans, les pèlerins
s'abreuvent.
Alger l'africaine porte d'un continent,
Alger la méditerranéenne, escale sur la plus vieille mer
du monde,
Alger cité historique, en plein expansion est de nos jours,
la grande capitale.
Au centre ville, la grande poste dresse sa façade
néo-mauresque.
De tout temps, cet édifice prestigieux fut le
*barycentre de la capitale.
Il est encore aujourd'hui un repère, un espace des
rendez-vous. A ses pieds se croisent les artères les
plus animées de la ville.
Avec leurs grands magasins, leurs belles boutiques de
confection et de décoration, leurs librairies, leurs
super-marchés, et leurs restaurants, les rues
Didouche Mourad et Larbi Ben Mehidi sont les plus
importantes du centre ville.
barycentre : point d'intersection des 3 médianes d'un
triangle
DJAMAA EL-BARRANI - Alger
C'est une mosquée située en haut de la Casbah, comme
son nom l'indique, elle est destinée à recevoir d'abord
les personnes étrangères à la cité.
L'auvent en tuile verte prononce l'entrée de la mosquée.
Le minaret aux proportions équilibrées est rehaussé
d'une frise en céramique typiquement locale. Ce petit
édifice semble dominer la médina.
En contre bas, nous distinguons l'Amirauté.
Au fond notre oeil plonge dans le bleu de la méditerranée
DJAMAA EL-DJEDID - Alger
Djamaa El-Djedid ou Mosquée de la pêcherie à Alger est
le type le plus frappant de l'architecture turque, c'est
aussi sans conteste l'exemple le plus intéressant par
sa conception architecturale et son décor.
Elle fut construite en 1660, une grande coupole dont
le sommet s'élève intérieurement à plus de 24 m, est
bâtie en briques par assises annulaires horizontales.
L'endroit le plus sacré d'une mosquée est le mihrab
tapissé de carreaux de faience dans sa partie inférieure
et orné de moulures en plâtre à côté du minbar du
haut des marches duquel l'imam délivre un sermon
(khutba) au cours de la prière du vendredi après-midi.
PORTE DU TOMBEAU DE SIDI BOUMEDIENE - Tlemcen
Une porte à auvent donne sur un escalier qui descend
au tombeau mystique Andalou Sidi Boumédiène faisant
du village El Eubbad un des lieux de pèlerinage les
plus fameux du Maghreb. Une courette précède la
chambre funéraire de Sidi Boumediène.
Un puit est là depuis six ou sept cent ans, les pèlerins
s'abreuvent.
Je trouve tout ces tableaux et toutes ces couleurs vraiment magnifique!
merci waz
merci waz
GUELMA - Hammam Meskhoutine - Algérie
Les cascades pétrifiées de hammam Meskhoutine, près
de Guelma, comptent parmi ces curiosités insolites,
nombreuses, dans toute l'Algérie et pourtant peu
connues des touristes.
C'est une de ces nombreuses stations thermales
algériennes en pleine modernisation.
A Hammam Meskhoutine, la température de l'eau est
entre 90° et 98°, les sources les plus importantes sont
captées pour l'établissement thermal.
D'autres s'écoulent librement, créant d'étonnants
paysages.
ILLIZI - La caravane - Algérie
Il est banal de vanter le sens de l'orientation des touaregs
nomades. Ils ont une acuité visuelle et auditive remarquable,
mais aussi un sens toujours en éveil, qui leur permet
une observation pénétrante des lieux.
Ils trouvent des repères dans des régions d'une totale
uniformité et savent presque toujours se situer dans
l'espace.
Ce caravanier, traverse des grandes dunes, le vent
soulève de légères nappes de sable, voiles immatériels
couleur or, ondulant au ras du sol ocre.
Le dromadaire est indispensable aux touaregs sans qui,
ils ne pourraient vivre dans le désert.
L'association targui - dromadaire, couvre le passage,
on voit la double silhouette se découper sur les crêtes
des dunes, où s'impriment dans le sable les traces
superposées des pieds du targui et ceux des chameaux.
TINDOUF - Le marché aux dromadaires - Algérie
Dans le sud ouest du Sahara, Tindouf ....
Plus qu'une oasis, un trait d'union, un lieu de rencontres
et d'échanges.
Au souk de Tindouf, convergent régulièrement tous ceux
qui veulent conclure des opérations commerciales. Les
grands espaces désertiques s'animent de pulsions et
de rythmes nouveaux. Le troc bat son plein.
Au Sahara, le dromadaire est à la fois un moyen de
locomotion et de subsistance, sans lequel la vie dans le
vaste désert du monde ne serait pas ce qu'elle est. La
résistance du dromadaire à la soif, à la faim et à l'effort
n'a d'égale que la démesure des distances, les variations
de températures et la dispersion de cette source
essentielle de vie qu'est l'eau.
DJANET - Les fresques du Tassili - Algérie
Djanet serait longtemps demeurée une petite oasis oubliée
du sud est algérien si la découverte des peintures rupestres
du Tassili n'en avait pas fait un centre mondial de
l'art et de la recherche préhistorique.
Les fresques sur roche, relevées un peu partout au Sahara
sont témoins des milliers de chasseurs et éleveurs qui
vécurent dans ces espaces, voici des milliers d'années.
En 1982, le Tassili est déclaré patrimoine mondial par l'UNESCO.
En 1986, le Parc National du Tassili est inscrit dans le
réseau international des réserves de l'homme et de la
biosphère.
Sa superficie est de 80 000 km².
TAMANRASSET - Le Hoggar - Algérie
Fabuleux Hoggar, tout est solitude et chaos. Les coloris
varient avec les heures du jour. Le froid transperce sous
un soleil ardent. Le silence est infini.
Un des centres archéologiques les plus étonnant du monde,
s'étend sur le plateau déchiqueté du Tassili n'Ajjer. Le
hérissement des tours volcaniques du Hoggar évoque la
magnificence et l'étrangeté de ces hauts lieux.
La randonnée à travers le Hoggar conserve encore le
charme authentique des temps passés.
Le bivouac du soir, dans l'ombre bleutée des falaises et
des canyons, constitue un souvenir de grande qualité.
L'Atakor est la région centrale du Sahara algérien, c'est
le coeur du Hoggar et en prime, l'ascension du plus haut
sommet de l'Algérie, le mont Taha (2918m).
Un point célèbre est l'Assekrem, à 80 km au nord de
Tamanrasset à vol d'oiseau, c'est là où on peut assister
au lever du soleil unique au monde, paysage grandiose et
c'est là aussi que le Père de Foucauld avait installé son
ermitage dès 1905.
" La vue y est plus belle qu'on ne peut le dire ni l'imaginer.
Rien ne peut donner une idée de la forêt de pics et d'aiguilles
rocheuses qu'on a à ses pieds ; c'est une merveille "
Père Charles de Foucauld
Ces tableaux sont les derniers de ce thème.
Mes remerciements réitérés à Mr BENYAA pour son aimable
autorisation à la publication de ses oeuvres sur le forum
de Maroc Passion
Les cascades pétrifiées de hammam Meskhoutine, près
de Guelma, comptent parmi ces curiosités insolites,
nombreuses, dans toute l'Algérie et pourtant peu
connues des touristes.
C'est une de ces nombreuses stations thermales
algériennes en pleine modernisation.
A Hammam Meskhoutine, la température de l'eau est
entre 90° et 98°, les sources les plus importantes sont
captées pour l'établissement thermal.
D'autres s'écoulent librement, créant d'étonnants
paysages.
ILLIZI - La caravane - Algérie
Il est banal de vanter le sens de l'orientation des touaregs
nomades. Ils ont une acuité visuelle et auditive remarquable,
mais aussi un sens toujours en éveil, qui leur permet
une observation pénétrante des lieux.
Ils trouvent des repères dans des régions d'une totale
uniformité et savent presque toujours se situer dans
l'espace.
Ce caravanier, traverse des grandes dunes, le vent
soulève de légères nappes de sable, voiles immatériels
couleur or, ondulant au ras du sol ocre.
Le dromadaire est indispensable aux touaregs sans qui,
ils ne pourraient vivre dans le désert.
L'association targui - dromadaire, couvre le passage,
on voit la double silhouette se découper sur les crêtes
des dunes, où s'impriment dans le sable les traces
superposées des pieds du targui et ceux des chameaux.
TINDOUF - Le marché aux dromadaires - Algérie
Dans le sud ouest du Sahara, Tindouf ....
Plus qu'une oasis, un trait d'union, un lieu de rencontres
et d'échanges.
Au souk de Tindouf, convergent régulièrement tous ceux
qui veulent conclure des opérations commerciales. Les
grands espaces désertiques s'animent de pulsions et
de rythmes nouveaux. Le troc bat son plein.
Au Sahara, le dromadaire est à la fois un moyen de
locomotion et de subsistance, sans lequel la vie dans le
vaste désert du monde ne serait pas ce qu'elle est. La
résistance du dromadaire à la soif, à la faim et à l'effort
n'a d'égale que la démesure des distances, les variations
de températures et la dispersion de cette source
essentielle de vie qu'est l'eau.
DJANET - Les fresques du Tassili - Algérie
Djanet serait longtemps demeurée une petite oasis oubliée
du sud est algérien si la découverte des peintures rupestres
du Tassili n'en avait pas fait un centre mondial de
l'art et de la recherche préhistorique.
Les fresques sur roche, relevées un peu partout au Sahara
sont témoins des milliers de chasseurs et éleveurs qui
vécurent dans ces espaces, voici des milliers d'années.
En 1982, le Tassili est déclaré patrimoine mondial par l'UNESCO.
En 1986, le Parc National du Tassili est inscrit dans le
réseau international des réserves de l'homme et de la
biosphère.
Sa superficie est de 80 000 km².
TAMANRASSET - Le Hoggar - Algérie
Fabuleux Hoggar, tout est solitude et chaos. Les coloris
varient avec les heures du jour. Le froid transperce sous
un soleil ardent. Le silence est infini.
Un des centres archéologiques les plus étonnant du monde,
s'étend sur le plateau déchiqueté du Tassili n'Ajjer. Le
hérissement des tours volcaniques du Hoggar évoque la
magnificence et l'étrangeté de ces hauts lieux.
La randonnée à travers le Hoggar conserve encore le
charme authentique des temps passés.
Le bivouac du soir, dans l'ombre bleutée des falaises et
des canyons, constitue un souvenir de grande qualité.
L'Atakor est la région centrale du Sahara algérien, c'est
le coeur du Hoggar et en prime, l'ascension du plus haut
sommet de l'Algérie, le mont Taha (2918m).
Un point célèbre est l'Assekrem, à 80 km au nord de
Tamanrasset à vol d'oiseau, c'est là où on peut assister
au lever du soleil unique au monde, paysage grandiose et
c'est là aussi que le Père de Foucauld avait installé son
ermitage dès 1905.
" La vue y est plus belle qu'on ne peut le dire ni l'imaginer.
Rien ne peut donner une idée de la forêt de pics et d'aiguilles
rocheuses qu'on a à ses pieds ; c'est une merveille "
Père Charles de Foucauld
Ces tableaux sont les derniers de ce thème.
Mes remerciements réitérés à Mr BENYAA pour son aimable
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