Liberte?
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13072008
Liberte?
Port de la burqa : Valérie Pécresse approuve le refus de nationalité à une marocaine
Publié le 12.07.2008 | 22h04
"Le principe de l'égalité des sexes n'est pas négociable".
C'est ce qu'a déclaré le 12 Juillet 2008, la ministre de l'enseignement supérieur Française, après la confirmation, par le conseil d'Etat, du refus de nationalité française à une Marocaine, en raison de sa "pratique radicale de la religion incompatible avec les valeurs essentielles de la communauté française".Le Conseil d'Etat avait quant à lui confirmé fin juin le refus d'octroyer la nationalité française à la ressortissante Marocaine.
Valérie Pécresse a estimé que "le principe de l'égalité des sexes n'est pas négociable dans la République française" et que "le Conseil d'Etat en rendant cette décision a voulu réaffirmer qu'on ne pouvait pas avoir la nationalité française quand on n'adhérait pas à ce principe".
"Au-delà même du port de la burqa, il y avait la question du fait que cette femme n'allait pas voter, du fait qu'elle n'avait pas de vie indépendante en dehors des déplacements qu'elle faisait accompagnée de son mari. Je crois que cela n'est pas la République française", a conclu la ministre.
La confirmation du refus de la nationalité "n'est pas liée à un problème de religion mais de comportement traduisant un défaut d'assimilation à la société française", a commenté à l'AFP une source proche du dossier.
Défaut d'assimilation, historique...
"Ce n'est pas la première fois que cet argument conduit à refuser l'octroi de la nationalité française", a ajouté cette source tout en relevant que c'était "la première fois concernant le port d'une burqa". L'association Ni putes ni soumises (NPNS) s'est dite dans un communiqué "soulagée" par la décision du Conseil d'Etat, estimant qu'elle devait servir d'"exemple pour tous ceux qui se revendiquent des valeurs de la République". L'association a qualifié le salafisme de "secte radicale".
Sollicité par l'AFP, le Conseil français du culte musulman à affirmé son souhait de ne pas vouloir donner de réaction hâtive.
Cette affaire ouvre à nouveau le débat sur la liberté religieuse en France, surtout après que le couple en question avait admis son appartenance au courant salafiste, courant qualifié d'extrémiste.
Mohcine Lourhzal
Publié le 12.07.2008 | 22h04
"Le principe de l'égalité des sexes n'est pas négociable".
C'est ce qu'a déclaré le 12 Juillet 2008, la ministre de l'enseignement supérieur Française, après la confirmation, par le conseil d'Etat, du refus de nationalité française à une Marocaine, en raison de sa "pratique radicale de la religion incompatible avec les valeurs essentielles de la communauté française".Le Conseil d'Etat avait quant à lui confirmé fin juin le refus d'octroyer la nationalité française à la ressortissante Marocaine.
Valérie Pécresse a estimé que "le principe de l'égalité des sexes n'est pas négociable dans la République française" et que "le Conseil d'Etat en rendant cette décision a voulu réaffirmer qu'on ne pouvait pas avoir la nationalité française quand on n'adhérait pas à ce principe".
"Au-delà même du port de la burqa, il y avait la question du fait que cette femme n'allait pas voter, du fait qu'elle n'avait pas de vie indépendante en dehors des déplacements qu'elle faisait accompagnée de son mari. Je crois que cela n'est pas la République française", a conclu la ministre.
La confirmation du refus de la nationalité "n'est pas liée à un problème de religion mais de comportement traduisant un défaut d'assimilation à la société française", a commenté à l'AFP une source proche du dossier.
Défaut d'assimilation, historique...
"Ce n'est pas la première fois que cet argument conduit à refuser l'octroi de la nationalité française", a ajouté cette source tout en relevant que c'était "la première fois concernant le port d'une burqa". L'association Ni putes ni soumises (NPNS) s'est dite dans un communiqué "soulagée" par la décision du Conseil d'Etat, estimant qu'elle devait servir d'"exemple pour tous ceux qui se revendiquent des valeurs de la République". L'association a qualifié le salafisme de "secte radicale".
Sollicité par l'AFP, le Conseil français du culte musulman à affirmé son souhait de ne pas vouloir donner de réaction hâtive.
Cette affaire ouvre à nouveau le débat sur la liberté religieuse en France, surtout après que le couple en question avait admis son appartenance au courant salafiste, courant qualifié d'extrémiste.
Mohcine Lourhzal
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Liberte? :: Commentaires
[b]Moi s'est la premiere fois que j'entend parler de telles pratiques.L'islamophobie augmente dans la societe francaise depuis les attentat d'amerique.Il est courant de trouver des parquets de viande porcine dans les rayons Hallal des supermarches.Pour certains aller a la mosquees normalement pour les prieres releve de l'extremiste.Si nos dirigeants prennent le modele francais comme maitre etalon alors beaucoup de gens serons rejettes pour les candidature a la nationnalite francaise.Si une femme musulmane veut se conformer aux principes de l'islam sans contrainte exterieur pourquoi pas.Est ce qu'une femme francaise habille a la mode francaise vaut mieux qu'une femme musulmane qui porte le voile ?Je pose la question.POur ma part je ne voit pas en quoi cela peut gener pour devenir citoyenne francaise.
Merci brahim pour ta réponse, sans rien te cacher je suis trés intéressée par ce probléme, je te demande svp de me faire connaitre la vraie version de ce sujet, et est ce que les autorités françaises officielles appuient cette idée par des lois ou bien des notes officielles, merci
Non je ne pense pas qu'il y ait des papiers officiels pour ce genre de choses.Il existe assez de loi contre l'immigration pour que les agents qui s'occupent de ca puisses renvoyer les candidats a l'immigration sans etre inquiete.Les circulaire anti islamistes si elles existent font que tout ce qui peut etre pris pour de l'integrismes puisses etre expulse rapidement.D'ailleurs certains imans en ont fait les frais.La loi pour l'immigration choisi fait que maintenant les autorites aides par les pays demandeur tris les candidats celon les besoins de la main oeuvre dont la France a besoin.Le but du gouvernement s'est d'arriver a un taux d'immigration proche de zero.voila a peu pres la siotuation sur l'immigration si d'autres membres veulent donner des precisions je les encourage vivement.[b]
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